Elles se sont glissées dans le circuit de visite sans le bousculer ni dans son déroulement ni dans son tarif. On peut ne pas les voir... C'est dommage. On peut les regarder et visiter en même temps. C'est mieux !
Il faut parler plus exactement de petites formes marionnettiques tant est variée la création dans ce domaine de l'art à la vitalité si étonnante. Adaptées à une présentation en salles classées monument historique. Elles le font avec discrétion ce qui ne veut pas dire avec humilité.
Le manteau d'Arlequin, les castelets sont bien changés et le manipulateur est devenu un acteur entier du spectacle quelquefois marionnette de lui-même, quelquefois manipulé par sa créature, victime de farces électroniques des descendants de Polichinelle.
Il faut parler plus exactement de petites formes marionnettiques tant est variée la création dans ce domaine de l'art à la vitalité si étonnante. Adaptées à une présentation en salles classées monument historique. Elles le font avec discrétion ce qui ne veut pas dire avec humilité.
Le manteau d'Arlequin, les castelets sont bien changés et le manipulateur est devenu un acteur entier du spectacle quelquefois marionnette de lui-même, quelquefois manipulé par sa créature, victime de farces électroniques des descendants de Polichinelle.
La Revue du Spectacle a des petits faibles comme pour la dernière création de la compagnie Pseudonymo qui sait si bien se rapprocher de l'inquiétant et de l'étrange avec sa dernière création "Squid" qui approche les abysses de l'imaginaire.
Davy et Kristin Mcguire de Bristol qui, avec un livre maquette blanc comme neige ("The Icebook"), savent si magnifiquement projeter des scènes animées comme un hommage à Georges Méliès.
Ces spectacles aussi qui font de la connaissance scientifique un objet de rêverie poétique comme "Les Rêveries Magnétiques" de la Cie Omproduck ou "Sédiments" lorsque les Baltazars s'intéressent de très près aux nébulosités.
Mais il y a aussi Chloé Moglia qui danse verticalement et écrit au tableau noir dans "Rhizikon" (Compagnie Rhizome). Ou les Anonima Teatro avec "La Route" font partager l'expérience d'un rouleau de bitume infernal. Dans ce festival Orbis Pictus, on fait le tour du monde. On en voit de toutes les couleurs.
Davy et Kristin Mcguire de Bristol qui, avec un livre maquette blanc comme neige ("The Icebook"), savent si magnifiquement projeter des scènes animées comme un hommage à Georges Méliès.
Ces spectacles aussi qui font de la connaissance scientifique un objet de rêverie poétique comme "Les Rêveries Magnétiques" de la Cie Omproduck ou "Sédiments" lorsque les Baltazars s'intéressent de très près aux nébulosités.
Mais il y a aussi Chloé Moglia qui danse verticalement et écrit au tableau noir dans "Rhizikon" (Compagnie Rhizome). Ou les Anonima Teatro avec "La Route" font partager l'expérience d'un rouleau de bitume infernal. Dans ce festival Orbis Pictus, on fait le tour du monde. On en voit de toutes les couleurs.
Festival Orbis Pictus
24, 25 et 26 avril 2015.
Les compagnies Pseudonymo et Succursale 101 s’associent à nouveau pour produire cet espace de liberté propre à la marionnette contemporaine et qui résonne sous le doux nom d’Orbis Pictus.
Palais du Tau, 2, place du Cardinal, Reims (51).
Tél. : 03 26 47 81 79.
Spectacles dans les différentes salles du Palais dans dans la Cour d'Honneur.
>> www.orbispictus.fr
Les compagnies Pseudonymo et Succursale 101 s’associent à nouveau pour produire cet espace de liberté propre à la marionnette contemporaine et qui résonne sous le doux nom d’Orbis Pictus.
Palais du Tau, 2, place du Cardinal, Reims (51).
Tél. : 03 26 47 81 79.
Spectacles dans les différentes salles du Palais dans dans la Cour d'Honneur.
>> www.orbispictus.fr