Le cirque est sorti des chapiteaux depuis quelques décennies. Il se retrouve ici à son aise, sous le grand chapiteaux du ciel et les lumières de la voie lactée, du soleil et de la lune. Un art circassien qui en a fini avec les successions de numéros misant tout sur la performance, la force ou la souplesse. Voltigeurs, acrobates, clowns, équilibristes, jongleurs, clowns se sont émancipés de la vie de saltimbanque pour faire de chacune de leurs pratiques un art à part entière, une discipline capable de raconter notre monde et plus seulement de faire spectacle. L'un n'empêchant pas l'autre heureusement.
Le centre névralgique du festival est une vaste installation sous les arbres, La Carbunica, où l'on retrouve toute la journée et jusqu'à tard le soir : boisson, glaces, crêpes, billetteries, plein de food truck proposant toutes sortes de plats, mais aussi des initiations gratuites aux disciplines circassiennes comme le trapèze volant, des rencontres professionnelles et chaque soir un concert qui fait suite à celui des cigales.
Conçu comme le partage d'un moment convivial et festif, le festival propose des spectacles gratuits dans les différents lieux de représentation.
Une programmation riche qui s'étale du soir au matin donc. Une programmation variée, qui présente un éventail très large des créations circassiennes actuelles. Plus d'une douzaine de spectacles de toutes tailles pour toutes les sortes de public, depuis les enfants de trois ans et même moins jusqu'à des spectacles demandant une sensibilité plus madrée qui développent des thèmes et des esthétiques fouillés et originales. J'ai ainsi pu assister à cinq propositions.
Le centre névralgique du festival est une vaste installation sous les arbres, La Carbunica, où l'on retrouve toute la journée et jusqu'à tard le soir : boisson, glaces, crêpes, billetteries, plein de food truck proposant toutes sortes de plats, mais aussi des initiations gratuites aux disciplines circassiennes comme le trapèze volant, des rencontres professionnelles et chaque soir un concert qui fait suite à celui des cigales.
Conçu comme le partage d'un moment convivial et festif, le festival propose des spectacles gratuits dans les différents lieux de représentation.
Une programmation riche qui s'étale du soir au matin donc. Une programmation variée, qui présente un éventail très large des créations circassiennes actuelles. Plus d'une douzaine de spectacles de toutes tailles pour toutes les sortes de public, depuis les enfants de trois ans et même moins jusqu'à des spectacles demandant une sensibilité plus madrée qui développent des thèmes et des esthétiques fouillés et originales. J'ai ainsi pu assister à cinq propositions.
Commençons par le spectacle très jeune public, à partir de 3 ans,
"Le Vertige de l'Envers". L'espace de jeu est volontairement familier des petits : tout se déroule sur et autour d'un portique comme on en trouve dans la plupart des jardins des maisons de famille. Mais ce portique sera le lieu de toute une série d'illusions, de jonglerie, de perceptions détournées de la réalité. Sur une bande sonore musicale qui appelle à la détente et à l'étrangeté, semée parfois de dissonances légères, Pauline Barboux et Nicolas Longuechaud vont développer toute une série de performances visuelles.
Celles-ci défient la pesanteur ou la logique et tendent à représenter un monde étrange et merveilleux où les balles de jonglage prennent des trajectoires impossibles, où les chaises deviennent légères comme des plumes, où les corps se mettent à prendre des inclinaisons improbables, où les ballons légers deviennent sans prévenir plus lourds que l'air. La grâce, la lenteur et la maîtrise des corps et de l'équilibre, ainsi que tout un panel d'illusions, permettent de mettre en éveil la curiosité de tous, adultes et enfants, et de pouvoir douter des évidences.
"Le Vertige de l'Envers". L'espace de jeu est volontairement familier des petits : tout se déroule sur et autour d'un portique comme on en trouve dans la plupart des jardins des maisons de famille. Mais ce portique sera le lieu de toute une série d'illusions, de jonglerie, de perceptions détournées de la réalité. Sur une bande sonore musicale qui appelle à la détente et à l'étrangeté, semée parfois de dissonances légères, Pauline Barboux et Nicolas Longuechaud vont développer toute une série de performances visuelles.
Celles-ci défient la pesanteur ou la logique et tendent à représenter un monde étrange et merveilleux où les balles de jonglage prennent des trajectoires impossibles, où les chaises deviennent légères comme des plumes, où les corps se mettent à prendre des inclinaisons improbables, où les ballons légers deviennent sans prévenir plus lourds que l'air. La grâce, la lenteur et la maîtrise des corps et de l'équilibre, ainsi que tout un panel d'illusions, permettent de mettre en éveil la curiosité de tous, adultes et enfants, et de pouvoir douter des évidences.
Le deuxième spectacle a lieu en extérieur. Deux clowns vont inviter le public à une fête. Une grande fête, bien sûr, que faire d'autre puisque ceux-ci nous apprennent qu'un météore est en train de foncer sur notre planète et que sa rencontre va provoquer la fin du monde. "Happy apocalypse to you" est un spectacle de duo de clowns, visuel et musical, qui utilise le mât chinois et le scratching sur platine (DJ) tout terrain. Car il faut bien de la musique pour une telle fête de l'apocalypse !
Dans ce duo de personnages assez classique, Jaime Monfort Miralles tend vers le rôle sérieux et donneur d'ordre du clown blanc, tandis que Ilaria Romanini, facétieuse, maladroite et un peu bête, a beaucoup des réactions d'Auguste. Son jeu se déroule autant sur la terre ferme que sur le mât chinois, celui-ci étant le seul décor de la scène avec un meuble de DJ d'où les mélanges d'airs des années soixante-dix, quatre-vingts et des titres un peu moins connus vont déferler dans un quiz chorégraphique qui défie le temps qui passe. Le temps qui passe, le temps que la météorite pulvérise la vie, le temps que les deux clowns finissent par nous emplir de rire.
Dans ce duo de personnages assez classique, Jaime Monfort Miralles tend vers le rôle sérieux et donneur d'ordre du clown blanc, tandis que Ilaria Romanini, facétieuse, maladroite et un peu bête, a beaucoup des réactions d'Auguste. Son jeu se déroule autant sur la terre ferme que sur le mât chinois, celui-ci étant le seul décor de la scène avec un meuble de DJ d'où les mélanges d'airs des années soixante-dix, quatre-vingts et des titres un peu moins connus vont déferler dans un quiz chorégraphique qui défie le temps qui passe. Le temps qui passe, le temps que la météorite pulvérise la vie, le temps que les deux clowns finissent par nous emplir de rire.
"Vent d'Ouest" présente une autre idée de ce que peut être le cirque. Fantaisie de cirque pour la rue, ce spectacle, tout imprégné de la culture américaine, est une aventure romanesque qui reprend la plupart des codes des westerns. À cela s'ajoute une tonne de références aux cartoons de la même époque, avec un zeste d'inspiration puisé dans l'univers des Monty Python. C'est sur une structure monumentale que va se dérouler cette parodie de western. Un entortillement de tubes sur plusieurs niveaux monte à plus de dix mètres au-dessus de la scène. Une structure qui accueille cadre coréen, trapèze ballant, corde volante, fil incliné, cerceau aérien, mât chinois et trampoline : de quoi virevolter dans les trois dimensions pour cette course-poursuite impressionnante.
Le théâtre, le jeu d'acteur, ainsi que la musique live (banjo, guitare et accordina), le chant et une bande-son bourrée de bruitages en tous genres font partie du show. Car, cette fois, il s'agit d'un véritable show, ludique, tout public, avec une trame légère, mais qui suffit à donner prétexte à toutes les acrobaties possibles, qu'elles soient au sol, dans les airs ou encore à plus de 10 mètres au-dessus du sol.
On sent que toute la compagnie est très soudée, car, ici, pas question de temps morts. Apparitions et disparitions, courses et échappements, répliques gestuelles ou parlées se jouent à la seconde près puisqu'il s'agit bien de happer sans cesse l'attention du spectateur. C'est presque une forme de ballet, non pas de danse, mais d'acrobaties, de portés et de virtuosité sur fond d'humour potache.
Le théâtre, le jeu d'acteur, ainsi que la musique live (banjo, guitare et accordina), le chant et une bande-son bourrée de bruitages en tous genres font partie du show. Car, cette fois, il s'agit d'un véritable show, ludique, tout public, avec une trame légère, mais qui suffit à donner prétexte à toutes les acrobaties possibles, qu'elles soient au sol, dans les airs ou encore à plus de 10 mètres au-dessus du sol.
On sent que toute la compagnie est très soudée, car, ici, pas question de temps morts. Apparitions et disparitions, courses et échappements, répliques gestuelles ou parlées se jouent à la seconde près puisqu'il s'agit bien de happer sans cesse l'attention du spectateur. C'est presque une forme de ballet, non pas de danse, mais d'acrobaties, de portés et de virtuosité sur fond d'humour potache.
Pour "Les Fauves", de la compagnie de jonglage Ea Eo, c'est à la nuit tombante que tout commence. Pour chapiteau, la voûte céleste, et, pour lumières, la Voie lactée et les étoiles des belles soirées de début juillet. C'est un dispositif spécialement conçu pour cette configuration que la compagnie présente sa création. Une création axée essentiellement sur le jonglage, mais qui se décline en deux parties. Dans un premier temps, les spectateurs sont invités à déambuler pendant trois-quarts d'heure dans tout l'espace, à la découverte de différents modules de jeu, sortes de micros scènes investies chacune par une jongleuse ou un jongleur : jongler sous l'eau, en apnée, avec des balles d'air, jongler des pieds et des mains, en suspension, accrochée à un dispositif de cordages, jongler à perte de vue avec des massues dans l'orée du bois et les frondaisons, jongler enfin sur la profération d'un texte distillé dans des casques.
Puis, à la nuit pleine, le public se réunit dans l'arène centrale pour assister à la deuxième partie. Une deuxième partie endiablée par la musicienne, chanteuse, poétesse et harangueuse, Solène Garnier, véritable diablesse qui donne le tempo à tout ce show. L'histoire ? L'absurde, peut-être, mais surtout l'insatiable appétit pour ce drôle d'exercice qu'est le jonglage. Une sorte de métaphore à la fois ironique et tragique du destin des humains, cherchant l'envol et retombant, cherchant l'apesanteur et retombant, mais encore et toujours cherchant.
Puis, à la nuit pleine, le public se réunit dans l'arène centrale pour assister à la deuxième partie. Une deuxième partie endiablée par la musicienne, chanteuse, poétesse et harangueuse, Solène Garnier, véritable diablesse qui donne le tempo à tout ce show. L'histoire ? L'absurde, peut-être, mais surtout l'insatiable appétit pour ce drôle d'exercice qu'est le jonglage. Une sorte de métaphore à la fois ironique et tragique du destin des humains, cherchant l'envol et retombant, cherchant l'apesanteur et retombant, mais encore et toujours cherchant.
Un dispositif encore une fois surprenant pour "Huellas" (les empreintes en espagnol). Au théâtre de la Roche, installé dans une combe au pied du rocher surplombant, face aux gradins où s'installe le public, un immense carré, posé sur le plateau, empli de ce qui semble être de l'argile couleur de terre, surface inégale faite de trous et de bosses, comme un chemin de boue qu'aurait traversé une foule. Les créateurs de ce spectacle singulier, Olivier Meyrou, Matias Pilet, sont allés observer les empreintes laissées par Néandertal avec les archéologues du site paléolithique du Rozel avec un questionnement sur ce qui fait la permanence de la nature humaine : notre part animale.
De ces milliers d'empreintes de mains et de pieds, figées il y a 80 000 ans, ils ont tenté de recréer les mouvements liés à la nécessité de vivre, réinventer l'humain tel qu'il a pu être, tel qu'il a pu rester. Ils vont être deux acrobates/danseurs accompagnés en live par Karen Wenvl (musicienne et chanteuse mapuche) investissant de leurs corps, de leurs peaux à mesure de plus en plus marquées par l'argile, l'espace, marquant le sol, joutant, jouant, se découvrant pour s'apprivoiser ou se défier.
C'est une chorégraphie qui raconte, raconte l'évolution, le partage, riche autant des apports de la danse que de l'acrobatie, laissant pleinement les corps, leurs imbrications comme leurs heurts, parler. Une véritable performance pour les deux interprètes Matias Pilet et Fernando González Bahamóndez, aussi dissemblables physiquement que s'accordant dans une esthétique émouvante, fascinante.
Ceci n'étant qu'une partie de la programmation proposée cette année. Rendez-vous l'été prochain, aux alentours du 14 juillet, pour la 17e édition du Festival d'Alba-la-Romaine.
◙ Bruno Fougniès
De ces milliers d'empreintes de mains et de pieds, figées il y a 80 000 ans, ils ont tenté de recréer les mouvements liés à la nécessité de vivre, réinventer l'humain tel qu'il a pu être, tel qu'il a pu rester. Ils vont être deux acrobates/danseurs accompagnés en live par Karen Wenvl (musicienne et chanteuse mapuche) investissant de leurs corps, de leurs peaux à mesure de plus en plus marquées par l'argile, l'espace, marquant le sol, joutant, jouant, se découvrant pour s'apprivoiser ou se défier.
C'est une chorégraphie qui raconte, raconte l'évolution, le partage, riche autant des apports de la danse que de l'acrobatie, laissant pleinement les corps, leurs imbrications comme leurs heurts, parler. Une véritable performance pour les deux interprètes Matias Pilet et Fernando González Bahamóndez, aussi dissemblables physiquement que s'accordant dans une esthétique émouvante, fascinante.
Ceci n'étant qu'une partie de la programmation proposée cette année. Rendez-vous l'été prochain, aux alentours du 14 juillet, pour la 17e édition du Festival d'Alba-la-Romaine.
◙ Bruno Fougniès
"Le Vertige de l'Envers"
Cie L'Envolée Cirque.
De et avec : Pauline Barboux et Nicolas Longuechaud.
Composition musicale : Mauro Basilio.
Regard complice Kitsou Dubois.
Tournée
25 et 26 juillet 2024 : Oppidium de Glanum, Saint-Rémy-de-Provence (13).
1ᵉʳ au 15 aout 2024 : Tournée CCAS - À confirmer.
25 août 2024 : Parc Mosaïc - Jardin des cultures, Houplin-Ancoisne (59).
"Happy apocalypse to you"
Cie Les Enfants Sérieux.
Conception, écriture et mise en scène : Les Enfants Sérieux.
Avec : Ilaria Romanini, Jaime Monfort Miralles.
Regard extérieur, dramaturgie et jeu : Heinzi Lorenzen.
Régie : Célia Idir, en alternance avec Théo Vallée et Marilyn Étienne-Bon.
Costumes : Jessica Chomet.
Tournée
8 août 2024 : Frontignan (34).
"Vent d'Ouest"
Cie Les P'tits Bras.
Avec : Sophie Mandoux, Raphaël Gacon, Birta Benonysdottir, Lucas Bergandi, Francis Roberge, John John Mossoux.
Mise en scène : les P'tits Bras.
Regard extérieur : Christophe Thellier.
Costumes : Emma Assaud.
Création régie artistique : Nicolas Cautain, Raphaël Gacon et Fill De Block.
Musiques : Mark Dehoux.
Tournée
27, 28, 29 juillet 2024 : Phalsbourg (57).
31 juillet et 1er août : Thonon les bains (74).
3 août 2024 : Les Fondus du Macadam, Clermont-en-Genevois (74).
17 et 18 août 2024 : Festival international des Arts de la rue, Chassepierre (Belgique).
25 août 2024 : Les Rues Barrées (2X), Auxerre (89).
Cie L'Envolée Cirque.
De et avec : Pauline Barboux et Nicolas Longuechaud.
Composition musicale : Mauro Basilio.
Regard complice Kitsou Dubois.
Tournée
25 et 26 juillet 2024 : Oppidium de Glanum, Saint-Rémy-de-Provence (13).
1ᵉʳ au 15 aout 2024 : Tournée CCAS - À confirmer.
25 août 2024 : Parc Mosaïc - Jardin des cultures, Houplin-Ancoisne (59).
"Happy apocalypse to you"
Cie Les Enfants Sérieux.
Conception, écriture et mise en scène : Les Enfants Sérieux.
Avec : Ilaria Romanini, Jaime Monfort Miralles.
Regard extérieur, dramaturgie et jeu : Heinzi Lorenzen.
Régie : Célia Idir, en alternance avec Théo Vallée et Marilyn Étienne-Bon.
Costumes : Jessica Chomet.
Tournée
8 août 2024 : Frontignan (34).
"Vent d'Ouest"
Cie Les P'tits Bras.
Avec : Sophie Mandoux, Raphaël Gacon, Birta Benonysdottir, Lucas Bergandi, Francis Roberge, John John Mossoux.
Mise en scène : les P'tits Bras.
Regard extérieur : Christophe Thellier.
Costumes : Emma Assaud.
Création régie artistique : Nicolas Cautain, Raphaël Gacon et Fill De Block.
Musiques : Mark Dehoux.
Tournée
27, 28, 29 juillet 2024 : Phalsbourg (57).
31 juillet et 1er août : Thonon les bains (74).
3 août 2024 : Les Fondus du Macadam, Clermont-en-Genevois (74).
17 et 18 août 2024 : Festival international des Arts de la rue, Chassepierre (Belgique).
25 août 2024 : Les Rues Barrées (2X), Auxerre (89).
"Les Fauves"
Compagnie Ea Eo.
Direction artistique : Éric Longequel et Johan Swartvagher.
Assistante à la mise en scène : Casseline Gilet.
Jongleurs et jongleuses : Éric Longequel, Neta Oren, Sylvain Julien, Johan Swartvagher, Emilia Taurisano.
Composition et musique live : Solène Garnier.
Direction technique : Bernie Bonin.
Création lumière : Jules Guérin, avec la participation de Paul Deschamps.
Régie lumière : Jules Guérin.
Régie son : Erwan Sautereau.
Regard extérieur : Mathilde Roy et Bram Dobbelaere.
Bande son ménagerie Neta : Pierre Laloge (interprétation et co-écriture), Ramo (instrument).
Mixage et production additionnelle : Cinna Peyghamy.
Oreille extérieure mastering chapiteau : David Maillard.
Costumes : Alma Lomax.
Conception et fabrication aquarium : Florian Wenger.
Construction ménageries : Thomas Petrucci (Dancefloor), Wilfrid Swartvagher (Souvenir).
Tournée
Du 30 septembre au 15 octobre 2024 : L'Azimut, Antony (92).
"Huellas"
Cie Hold-Up & Co - Olivier Meyrou, Matias Pilet.
Mise en scène : Olivier Meyrou.
Avec : Matias Pilet et Fernando González Bahamóndez.
Musicienne : Karen Wenvl.
Plasticienne : Bonnie Colin.
Tournée
15 et 16 août 2024 : Festival Multi-pistes, Le Sirque - Pôle National Cirque Nexon Nouvelle-Aquitaine, Nexon (87).
B[15e édition du Festival de cirque d'Alba-le-Romaine
A eu lieu du 9 au 14 juillet 2024.]b
Organisée par la Cascade, Pôle National Cirque, à Bourg-Saint-Andéol (07).
>> lefestivaldalba.org
Compagnie Ea Eo.
Direction artistique : Éric Longequel et Johan Swartvagher.
Assistante à la mise en scène : Casseline Gilet.
Jongleurs et jongleuses : Éric Longequel, Neta Oren, Sylvain Julien, Johan Swartvagher, Emilia Taurisano.
Composition et musique live : Solène Garnier.
Direction technique : Bernie Bonin.
Création lumière : Jules Guérin, avec la participation de Paul Deschamps.
Régie lumière : Jules Guérin.
Régie son : Erwan Sautereau.
Regard extérieur : Mathilde Roy et Bram Dobbelaere.
Bande son ménagerie Neta : Pierre Laloge (interprétation et co-écriture), Ramo (instrument).
Mixage et production additionnelle : Cinna Peyghamy.
Oreille extérieure mastering chapiteau : David Maillard.
Costumes : Alma Lomax.
Conception et fabrication aquarium : Florian Wenger.
Construction ménageries : Thomas Petrucci (Dancefloor), Wilfrid Swartvagher (Souvenir).
Tournée
Du 30 septembre au 15 octobre 2024 : L'Azimut, Antony (92).
"Huellas"
Cie Hold-Up & Co - Olivier Meyrou, Matias Pilet.
Mise en scène : Olivier Meyrou.
Avec : Matias Pilet et Fernando González Bahamóndez.
Musicienne : Karen Wenvl.
Plasticienne : Bonnie Colin.
Tournée
15 et 16 août 2024 : Festival Multi-pistes, Le Sirque - Pôle National Cirque Nexon Nouvelle-Aquitaine, Nexon (87).
B[15e édition du Festival de cirque d'Alba-le-Romaine
A eu lieu du 9 au 14 juillet 2024.]b
Organisée par la Cascade, Pôle National Cirque, à Bourg-Saint-Andéol (07).
>> lefestivaldalba.org