Étienne Coquereau et Isabelle Cagnat © Maëlle Grange
"À quoi tu penses ?"
Dis…"à quoi tu penses ?"
Mmm…"à quoi tu penses?"
Et là, "à quoi tu penses ?"
À QUOI TU PENSES ?
Cette phrase, vous avez dû l’entendre plus d’une fois ! Dans votre bain, dans votre lit, en train de lire, de boire, de manger, de fumer, de faire l’amour ou bien même de dormir… Vous êtes là, installé bien tranquillement, à ne rien demander à personne, et voilà qu’un tel (souvent les femmes d’ailleurs) vous pose cette sempiternelle question… "à quoi tu penses ?".
Récurrente et lancinante, elle rappelle que un et un ne font pas un et que l’un peut aller sans l’autre. Ah ! Qu’on aimerait connaître un peu "ses" pensées les plus secrètes… C’est en tout cas ce que nous révèle Etienne Coquereau lorsqu’il répond à Isabelle Cagnat. Une seule et unique question… À cela, cent cinquante réponses, cent cinquante pensées charmantes, caustiques, croustillantes, perçantes, pénétrantes, poignantes, idiotes, inattendues, farfelues… Bref, inutile de toutes les qualifier, l’on perdrait son temps. Surtout quand on sait qu’il en existe encore un millier dans le livre de Hervé le Tellier dont est extrait le spectacle.
Dis…"à quoi tu penses ?"
Mmm…"à quoi tu penses?"
Et là, "à quoi tu penses ?"
À QUOI TU PENSES ?
Cette phrase, vous avez dû l’entendre plus d’une fois ! Dans votre bain, dans votre lit, en train de lire, de boire, de manger, de fumer, de faire l’amour ou bien même de dormir… Vous êtes là, installé bien tranquillement, à ne rien demander à personne, et voilà qu’un tel (souvent les femmes d’ailleurs) vous pose cette sempiternelle question… "à quoi tu penses ?".
Récurrente et lancinante, elle rappelle que un et un ne font pas un et que l’un peut aller sans l’autre. Ah ! Qu’on aimerait connaître un peu "ses" pensées les plus secrètes… C’est en tout cas ce que nous révèle Etienne Coquereau lorsqu’il répond à Isabelle Cagnat. Une seule et unique question… À cela, cent cinquante réponses, cent cinquante pensées charmantes, caustiques, croustillantes, perçantes, pénétrantes, poignantes, idiotes, inattendues, farfelues… Bref, inutile de toutes les qualifier, l’on perdrait son temps. Surtout quand on sait qu’il en existe encore un millier dans le livre de Hervé le Tellier dont est extrait le spectacle.
Étienne Coquereau et Isabelle Cagnat © Maëlle Grange
À quoi tu penses ?
Je pense que ça n’a pas dû être simple de ramener une baignoire pleine de mousse sur une scène.
À quoi tu penses ?
Je pense que se brosser les dents dans un bain et sur un plateau de théâtre est très drôle.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’arriver à ce degré-là d’intimité avec le spectateur est fort, vraiment très fort.
À quoi tu penses ?
Je pense que la comédienne a vraiment de très jolies jambes et qu’une des premières scènes de la pièce est digne d’un beau moment de cinéma.
À quoi tu penses ?
Je pense que lire dans son bain n’est jamais bien pratique, surtout quand ta femme te demande "à quoi tu penses ? "
À quoi tu penses ?
Je pense qu’aimer l’autre, ce n’est pas forcément pisser devant lui.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’il ne faut jamais dire tout ce qu’on pense, surtout à une femme et qu’à force, ce petit jeu peut être dangereux.
À quoi tu penses ?
Je pense donc que le metteur en scène, Frédéric Cherboeuf, a raison.
À quoi tu penses ?
Je pense que c’est bien de boire et de fumer dans son bain mais qu’à la fin de la représentation cette eau doit ressembler à une sacrée bouillie et que je n’aimerais pas y mettre mon pied.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’après la représentation, les comédiens ont intérêt à prendre une bonne douche.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’Isabelle Cagnat a une sacrée présence sur scène, mais que s’il elle était payée à la ligne, comme au cinéma, elle repartirait bredouille.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’Etienne Coquereau joue un peu son propre rôle, mais qu’il est quand même formidable.
À quoi tu penses ?
Je pense que je préfère les voir eux dans une baignoire plutôt que Loana dans "Loft Story". C’est bien mieux et bien plus intelligent.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’il faut aller voir ce spectacle.
À quoi tu penses ?
Je pense que j’irai bien moi aussi prendre un bain…
Pas vous ?
Je pense que ça n’a pas dû être simple de ramener une baignoire pleine de mousse sur une scène.
À quoi tu penses ?
Je pense que se brosser les dents dans un bain et sur un plateau de théâtre est très drôle.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’arriver à ce degré-là d’intimité avec le spectateur est fort, vraiment très fort.
À quoi tu penses ?
Je pense que la comédienne a vraiment de très jolies jambes et qu’une des premières scènes de la pièce est digne d’un beau moment de cinéma.
À quoi tu penses ?
Je pense que lire dans son bain n’est jamais bien pratique, surtout quand ta femme te demande "à quoi tu penses ? "
À quoi tu penses ?
Je pense qu’aimer l’autre, ce n’est pas forcément pisser devant lui.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’il ne faut jamais dire tout ce qu’on pense, surtout à une femme et qu’à force, ce petit jeu peut être dangereux.
À quoi tu penses ?
Je pense donc que le metteur en scène, Frédéric Cherboeuf, a raison.
À quoi tu penses ?
Je pense que c’est bien de boire et de fumer dans son bain mais qu’à la fin de la représentation cette eau doit ressembler à une sacrée bouillie et que je n’aimerais pas y mettre mon pied.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’après la représentation, les comédiens ont intérêt à prendre une bonne douche.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’Isabelle Cagnat a une sacrée présence sur scène, mais que s’il elle était payée à la ligne, comme au cinéma, elle repartirait bredouille.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’Etienne Coquereau joue un peu son propre rôle, mais qu’il est quand même formidable.
À quoi tu penses ?
Je pense que je préfère les voir eux dans une baignoire plutôt que Loana dans "Loft Story". C’est bien mieux et bien plus intelligent.
À quoi tu penses ?
Je pense qu’il faut aller voir ce spectacle.
À quoi tu penses ?
Je pense que j’irai bien moi aussi prendre un bain…
Pas vous ?
"Les Amnésiques n’ont rien vécu d’inoubliable"
Étienne Coquereau et Isabelle Cagnat © Maëlle Grange
(Vu le 24 mai 2011)
Texte : Hervé le Tellier.
Adaptation : Frédéric Cherboeuf et Étienne Coquereau.
Mise en scène : Frédéric Cherboeuf, assisté de Sophie Lecarpentier.
Avec : Étienne Coquereau et Isabelle Cagnat.
Lumière, sons et décor : Raphaël Dupeyrot.
Du 27 avril au 18 juin 2011.
Théâtre Lucernaire, Paris 06.
Du 8 au 31 juillet au Festival Off d'Avignon.
Tous les jours au Théâtre de la Luna, à 13 h 35.
Relâche le 18 juillet.
Théâtre La Luna.
Réservations : 04 90 86 96 28.
Texte : Hervé le Tellier.
Adaptation : Frédéric Cherboeuf et Étienne Coquereau.
Mise en scène : Frédéric Cherboeuf, assisté de Sophie Lecarpentier.
Avec : Étienne Coquereau et Isabelle Cagnat.
Lumière, sons et décor : Raphaël Dupeyrot.
Du 27 avril au 18 juin 2011.
Théâtre Lucernaire, Paris 06.
Du 8 au 31 juillet au Festival Off d'Avignon.
Tous les jours au Théâtre de la Luna, à 13 h 35.
Relâche le 18 juillet.
Théâtre La Luna.
Réservations : 04 90 86 96 28.