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"Tre" (trois en suédois) extra-terriens qui nous enchantent et nous dérident à la fois. Et par les temps qui courent à la vitesse grand V, dire que c’est un exploit de voir sur les visages palots d’un hiver qui tarde à arriver, laissant un peu trop d’eau sur les pavés, des sourires, des éclats de rires, est loin d’être exagéré. Mieux qu’un exploit. Une expédition. C’est qu’ils arrivent de loin ces trois artistes, qui chantent et jouent la comédie.
De loin. Là-haut. Là-bas... sur un air plus joyeux que celui de la chanson éponyme de Goldman. Tube qu'ils auraient pu reprendre ces trois cosmiques venus du froid. Dans leur spectacle, ils rendent "hommaj" aux chansons françaises et nous emmènent en "voyage voyage" encore plus loin que celui de Desireless... des années quatre-vingt. À Paris, ces temps-ci, il ne fait pas encore trop froid, comme dans les romans de Camilla Läckberg (auteur suédoise à succès), mais la météo donne, en effet, un peu trop de crédit à la pluie.
De loin. Là-haut. Là-bas... sur un air plus joyeux que celui de la chanson éponyme de Goldman. Tube qu'ils auraient pu reprendre ces trois cosmiques venus du froid. Dans leur spectacle, ils rendent "hommaj" aux chansons françaises et nous emmènent en "voyage voyage" encore plus loin que celui de Desireless... des années quatre-vingt. À Paris, ces temps-ci, il ne fait pas encore trop froid, comme dans les romans de Camilla Läckberg (auteur suédoise à succès), mais la météo donne, en effet, un peu trop de crédit à la pluie.
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Au sentier des Halles, et non "chantier" comme ils disent tout là-haut dans le Nord, ce trio composé, paraît-il, d'un frère et de ses deux "frangines", nous amène un rayon de soleil bien plus brûlant que celui de Voulzy sur sa belle Marie Galante, un zeste de rigolade, une poignée de musicalité, un patchwork de tubes revisités et une vision de notre France, plutôt corsée. Âmes hypersensibles et compliquées s'abstenir.
Que vous ne connaissiez de la Suède que Stockholm ou Camilla Läckberg, ou autre August Strindberg, soyez rassurés les triples B... ah ah ah (il n'y a que moi que cela fait rigoler ?) parlent bien le Français et ne vous demanderont pas de situer leur ville d’origine (dont le nom m’a très vite échappé) sur une carte entre deux couplets.
Soyez rassurés. Le drapeau de la Suède sur l’affiche est bien hissé et ce trio déjanté s’invite encore pour quelques dates dans cette salle intimiste, aux sièges rouges et confortables, du Sentier des Halles.
Rue d’Aboukir, pour vous situer. Avec un bar à l’entrée et un accueil souriant pour vous guider.
Que vous ne connaissiez de la Suède que Stockholm ou Camilla Läckberg, ou autre August Strindberg, soyez rassurés les triples B... ah ah ah (il n'y a que moi que cela fait rigoler ?) parlent bien le Français et ne vous demanderont pas de situer leur ville d’origine (dont le nom m’a très vite échappé) sur une carte entre deux couplets.
Soyez rassurés. Le drapeau de la Suède sur l’affiche est bien hissé et ce trio déjanté s’invite encore pour quelques dates dans cette salle intimiste, aux sièges rouges et confortables, du Sentier des Halles.
Rue d’Aboukir, pour vous situer. Avec un bar à l’entrée et un accueil souriant pour vous guider.
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Camilla Läckberg a écrit "Le Tailleur de pierre". Traduction française. Notre trio affolant et désopilant, revisite la Bretagne et font scier les bûcherons… c’est marrant. August Strindberg quant à lui, dans un de ses textes, "jouait avec le feu". Les Blond and Blond and Blond, eux, s’amusent à parodier des chansons que nous avons tous fredonnées. Parfois bien cachés... Avouez que "Pandi panda" à trente balais, il faut assumer. Tout l’art de ces extra-terriens venus du froid qui connaissent très bien notre pays, lui redonnant des couleurs en ces temps de morosité un peu longs à se "tailler", justement.
À quoi carburent-ils ces trois-là ? Aux "Krisproll" ? Aux pages du catalogue "Ikea" ? Aux "Köttbullar" ? Où vont-ils chercher tout ça ? Mamma mia !
En tous cas, ne vous privez pas de ces Suédois. Leur humour est parfois noir mais jamais maladroit.
Comme le chantait Abba : "Mon dieu, comment puis-je te résister ? Mamma mia, est-ce que ça paraît encore ? Mamma mia, maintenant je réalise, mon dieu, je ne pouvais te laisser partir".
Non ! Ne les laissez pas repartir ! Sans les applaudir. Profitez de leur "clavicule" à plus de 7 degrés. Au Sentier des Halles, refermez le parapluie, dégrafez vos gilets, parce qu’avec eux il fait "chu", comprenez "chaud", bien entendu !
À quoi carburent-ils ces trois-là ? Aux "Krisproll" ? Aux pages du catalogue "Ikea" ? Aux "Köttbullar" ? Où vont-ils chercher tout ça ? Mamma mia !
En tous cas, ne vous privez pas de ces Suédois. Leur humour est parfois noir mais jamais maladroit.
Comme le chantait Abba : "Mon dieu, comment puis-je te résister ? Mamma mia, est-ce que ça paraît encore ? Mamma mia, maintenant je réalise, mon dieu, je ne pouvais te laisser partir".
Non ! Ne les laissez pas repartir ! Sans les applaudir. Profitez de leur "clavicule" à plus de 7 degrés. Au Sentier des Halles, refermez le parapluie, dégrafez vos gilets, parce qu’avec eux il fait "chu", comprenez "chaud", bien entendu !
"Hømåj à la chonson française"
© DR.
Par Blønd and Blōnd and Blŏnd.
Avec : Tø, Mår & Glär.
Du 10 février au 30 juin 2014.
Tous les lundis à 20 h,
plus les dimanches 2 février, 2, 9, 16, 23 et 30 mars 2014 à 20 h.
Le Sentier des Halles, Paris 2e, 01 42 61 89 90.
>> lesentierdeshalles.fr
Avec : Tø, Mår & Glär.
Du 10 février au 30 juin 2014.
Tous les lundis à 20 h,
plus les dimanches 2 février, 2, 9, 16, 23 et 30 mars 2014 à 20 h.
Le Sentier des Halles, Paris 2e, 01 42 61 89 90.
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