Léa Drucker et Zabou Breitman © D.R.
À commencer par Zabou Breitman qui sortait tout juste de la représentation Jeux de scène de Victor Haïm. À ce moment-là, Lea et Zabou portaient toutes les deux leur perruque de la représentation. L’une jouait Gertrude, la metteuse en scène, l’autre l’actrice. Elles avaient eu la bonne idée d’inverser leur rôle. L’illusion a tellement bien fonctionné qu’au milieu de la précipitation, il y a eu une petite confusion… Comme quoi !
Zabou Breitman et Léa Drucker © D.R.
Puis, Léa Drucker, bien entendu, d’un naturel à toute épreuve. Fraîcheur et spontanéité caractérisent cette comédienne remarquable qu’on avait beaucoup aimé voir cette saison dans l’Amant de Harold Pinter, mis en scène par Didier Long au Théâtre Marigny.
Julien Sibre © D.R.
Nous n’avons pu résister à l’envie ni au plaisir d’interviewer Julien Sibre. Énorme succès remporté pour le Repas des fauves (trois Molière tout de même !). Grosse surprise (apparemment) pour ce comédien, metteur en scène et adaptateur :
Catherine Hiegel © Gil Chauveau
Catherine Hiegel, ancienne doyenne de la Comédie Française, a reçu le Molière de la comédienne pour la Mère, mis en scène par Marcial Di Fonzo Bo. Une grande dame, sans amertume, pour qui il n’était pas question d’évoquer les sujets qui fâchent… et pas un soir de fête !
Peter Brook, bien entendu, qui a reçu le Molière d’honneur. Mais aussi celui du Théâtre musical pour Une flûte enchantée de Mozart, sa toute dernière mise en scène aux Bouffes du Nord. Émouvant. Très grand monsieur qu’on approche avec le plus grand respect. Nous avons été heureux de pouvoir l’interviewer. Merci.
Et si c’était ça le mot de la fin. Avec Michel Galabru, cette année président d’honneur de la cérémonie, le ton est donné. Plus tout jeune, certes. Mais toujours aussi drôle et cocasse !