© Or Katz.
Dans cette pièce, la mise à nu du couple est sans concession. Le langage est crû, contemporain. Le jeu est direct, physique, le geste paroxystique. L'engagement des comédiens est total.
Ainsi placés dans une situation réaliste pour ne pas dire triviale, prisonniers du texte et du plateau scénique avec son rideau de fond scène, ils avancent par paliers de crise sans jamais couper le fil qui relie les personnages. Ils maintiennent la tension, ménagent des temps de suspend. Refusent ostensiblement de sombrer dans l'histrionisme (ce narcissisme du théâtre).
Ainsi sont préservés des instants de latence, de respiration, de repos. Marqués par un souci esthétique maitrisé, ils reflètent un désir de la beauté commun. Cette forme de réserve au sein même de la violence est comme une pudeur des sentiments, un besoin de caresse qui ne sait s'exprimer.
Ainsi placés dans une situation réaliste pour ne pas dire triviale, prisonniers du texte et du plateau scénique avec son rideau de fond scène, ils avancent par paliers de crise sans jamais couper le fil qui relie les personnages. Ils maintiennent la tension, ménagent des temps de suspend. Refusent ostensiblement de sombrer dans l'histrionisme (ce narcissisme du théâtre).
Ainsi sont préservés des instants de latence, de respiration, de repos. Marqués par un souci esthétique maitrisé, ils reflètent un désir de la beauté commun. Cette forme de réserve au sein même de la violence est comme une pudeur des sentiments, un besoin de caresse qui ne sait s'exprimer.
© Or Katz.
Dans "Ventre", il est question métaphoriquement de ce que justement les personnages ont dans le ventre. Une montée à la conscience de l'amour.
Ces deux-là seront peut-être des inséparables. Le spectateur les aime.
Ces deux-là seront peut-être des inséparables. Le spectateur les aime.
"Ventre"
© Or Katz.
Texte : Steve Gagnon.
Mise en scène et scénographie : Vincent Goethals.
Avec : Clément Goethals, Julie Sommervogel.
Regard chorégraphique : Louise Hakim.
Création lumière : Philippe Catalano.
Environnement sonore : Bernard Valléry.
Par la Cie Théâtre en Scène-Vincent Goethals.
Durée : 1 h 20.
•Avignon Off 2019•
Du 5 au 28 juillet 2019.
Tous les jours à 20 h 10, relâche le lundi.
Présence Pasteur, Salle Pasteur
13, rue du Pont Trouca.
Réservations : 06 08 80 73 58 et 06 51 01 32 72.
>> theatre-espoir.com
Mise en scène et scénographie : Vincent Goethals.
Avec : Clément Goethals, Julie Sommervogel.
Regard chorégraphique : Louise Hakim.
Création lumière : Philippe Catalano.
Environnement sonore : Bernard Valléry.
Par la Cie Théâtre en Scène-Vincent Goethals.
Durée : 1 h 20.
•Avignon Off 2019•
Du 5 au 28 juillet 2019.
Tous les jours à 20 h 10, relâche le lundi.
Présence Pasteur, Salle Pasteur
13, rue du Pont Trouca.
Réservations : 06 08 80 73 58 et 06 51 01 32 72.
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