© Édouard Alanio.
Exaltée, concentrée, mais aussi coléreuse au fur et à mesure que son intimité entre en résonance avec celle d'Emma, elle parle à son public (lui bien réel), à François Truffaut (son idole), à Gustave Flaubert (parce que Emma c'est lui). Assurément, le personnage de théâtre (et la comédienne) se délecte des dialogues ainsi instaurés. Un récit est échafaudé, un scénario imaginé.
Ludique, le spectacle pointe, l'air de rien, des problèmes de transpositions, des effets stylistiques propres à chaque support artistique (cinéma, littérature, théâtre) et il apporte des solutions… très théâtrales.
La mise en œuvre est pleine d'allant et de joie de jouer ; et constitue un véritable exercice de style.
Séquence après séquence, le personnage littéraire d'Emma dévore le personnage théâtral ainsi que la conscience de la comédienne qui discerne, à l'attention de son public, d'étranges similitudes de comportement à travers le temps.
Ludique, le spectacle pointe, l'air de rien, des problèmes de transpositions, des effets stylistiques propres à chaque support artistique (cinéma, littérature, théâtre) et il apporte des solutions… très théâtrales.
La mise en œuvre est pleine d'allant et de joie de jouer ; et constitue un véritable exercice de style.
Séquence après séquence, le personnage littéraire d'Emma dévore le personnage théâtral ainsi que la conscience de la comédienne qui discerne, à l'attention de son public, d'étranges similitudes de comportement à travers le temps.
© Édouard Alanio.
Comme une permanence de la dépression féminine. Le rêve de grand amour et la vie côte à côte sans s'aimer vraiment. Jusqu'au désespoir l'incompréhension. Le sort d'Emma hante comme un éternel féminin. Emma, une femme qui se faisait son cinéma.
Vu à la Maison des Métallos à Paris.
Vu à la Maison des Métallos à Paris.
"Bovary, les films sont plus harmonieux que la vie"
© Édouard Alanio.
D’après "Madame Bovary" de Gustave Flaubert.
Texte, mise en scène et jeu : Cendre Chassanne.
Co-mise en scène et jeu à l’écran : Pauline Gillet Chassanne.
Création lumière : Sébastien Choriol.
Régie lumière : Pierre-Yves Boutrand.
Création et régie son : Édouard Alanio.
Vidéo : Octave Paute.
Costumes : Pauline Gillet Chassanne, Marie-Sol Camus.
Texte publié aux éditions Rhubarbe.
Durée : 1 h 10.
Compagnie Barbès 35.
Du 12 au 17 septembre 2017.
mardi, mercredi, vendredi à 20 h ; jeudi, samedi à 19 h, dimanche à 15 h.
Maison des métallos, Pris 11e, 01 47 00 25 20
Tournée :
24 novembre 2017 : Auditorium Jean Cocteau (en partenariat avec La Ferme du Buisson, Scène nationale de Marne-La-Vallée), Noisiel (77).
28 novembre 2017 : Théâtre des Pénitents, Montbrison (42).
14 décembre 2017 : La Ferme des Jeux, Vaux-Le-Pénil (77).
18 janvier 2018 : La Nef, Wissembourg (67).
25 janvier 2018 : Théâtre de Thouars, Thouars (79).
11 février 2018 : Act'Art - Scènes Rurales, Beton-Bazoches (77).
15 et 16 février 2018 : Théâtre des Halles, Avignon (84).
23 mars 2018 : Théâtre André Malraux, Chevilly-Larue (94).
Texte, mise en scène et jeu : Cendre Chassanne.
Co-mise en scène et jeu à l’écran : Pauline Gillet Chassanne.
Création lumière : Sébastien Choriol.
Régie lumière : Pierre-Yves Boutrand.
Création et régie son : Édouard Alanio.
Vidéo : Octave Paute.
Costumes : Pauline Gillet Chassanne, Marie-Sol Camus.
Texte publié aux éditions Rhubarbe.
Durée : 1 h 10.
Compagnie Barbès 35.
Du 12 au 17 septembre 2017.
mardi, mercredi, vendredi à 20 h ; jeudi, samedi à 19 h, dimanche à 15 h.
Maison des métallos, Pris 11e, 01 47 00 25 20
Tournée :
24 novembre 2017 : Auditorium Jean Cocteau (en partenariat avec La Ferme du Buisson, Scène nationale de Marne-La-Vallée), Noisiel (77).
28 novembre 2017 : Théâtre des Pénitents, Montbrison (42).
14 décembre 2017 : La Ferme des Jeux, Vaux-Le-Pénil (77).
18 janvier 2018 : La Nef, Wissembourg (67).
25 janvier 2018 : Théâtre de Thouars, Thouars (79).
11 février 2018 : Act'Art - Scènes Rurales, Beton-Bazoches (77).
15 et 16 février 2018 : Théâtre des Halles, Avignon (84).
23 mars 2018 : Théâtre André Malraux, Chevilly-Larue (94).