© Grégory Marzai.
Dans "Possession", la compagnie Yokaï, dans sa qualité de montreur, noue un lien puissant avec le spectateur et, dans sa maîtrise de la machine à illusion, recrée les conditions de cette hallucination. Elle engendre un monde qui impose sa prégnance et dissout les apparences.
Dans le jeu d'ombre et de vapeurs, de brumes qui absorbe l'attention et l'être du spectateur, le fige dans un état d'hésitation, de trouble face à ce qu'il voit.
Le spectateur fait le chemin vers le surnaturel et non le merveilleux, avance dans ces contrées ambiguës où la raison se désoriente. Le présent et la durée de la métamorphose. Le temps suspendu. L'avant et l'après : concomitants qui se reversent l'un dans l'autre. Le spectre. L'automate. L'incube et le succube. L'écorché, le gisant maléfique. La poupée animée. Le rêve éveillé.
Dans le jeu d'ombre et de vapeurs, de brumes qui absorbe l'attention et l'être du spectateur, le fige dans un état d'hésitation, de trouble face à ce qu'il voit.
Le spectateur fait le chemin vers le surnaturel et non le merveilleux, avance dans ces contrées ambiguës où la raison se désoriente. Le présent et la durée de la métamorphose. Le temps suspendu. L'avant et l'après : concomitants qui se reversent l'un dans l'autre. Le spectre. L'automate. L'incube et le succube. L'écorché, le gisant maléfique. La poupée animée. Le rêve éveillé.
© Grégory Marzai.
Le spectateur éprouve l'inquiétude de l'étrange, la réalité du cauchemar à la fois rêve et réalité. Il est en approche du stade magique et heureusement pour lui qu'il sait qu'il est au théâtre car il pourrait entrer en démonologie…
Antonin Artaud "… accuse l'auteur du Jabberwocky d'avoir voulu pénétrer un vide qui ne voulait pas être possédé". Assurément, ce spectacle offre une réelle plongée de l'autre côté du miroir. Explore ce vide où l'art marionnettique et celui du masque montrent leur toute puissance. Il sonne comme un véritable hommage à Lewis Carroll et à Antonin Artaud et ouvre les portes de ce qu'il faut appeler les nouvelles magies.
Antonin Artaud "… accuse l'auteur du Jabberwocky d'avoir voulu pénétrer un vide qui ne voulait pas être possédé". Assurément, ce spectacle offre une réelle plongée de l'autre côté du miroir. Explore ce vide où l'art marionnettique et celui du masque montrent leur toute puissance. Il sonne comme un véritable hommage à Lewis Carroll et à Antonin Artaud et ouvre les portes de ce qu'il faut appeler les nouvelles magies.
"Possession (Killing Alice)"
© Grégory Marzai.
Conception : Violaine Fimbel.
Mise en scène : Violaine Fimbel.
Regard chorégraphique :Jérôme Brabant.
Regard extérieur : Quentin Cabocel.
Création son : Didier Ducrocq.
Manipulation : Marianne Durand et Marjan Kunaver.
Construction : Marianne Durand, Violaine Fimbel, Marjan Kunaver, Elisza Peressoni et Valéran Sabourin.
Durée : 40 min.
Tout public à partir de 12 ans.
•Avignon Off 2018•
Du 7 au 23 juillet 2018.
Tous les jours à 12 h 15, relâche le mardi.
Caserne des Pompiers,
116, rue de la Carreterie, Avignon.
Tél. : 04 90 01 90 28.
>> grandest.fr
Mise en scène : Violaine Fimbel.
Regard chorégraphique :Jérôme Brabant.
Regard extérieur : Quentin Cabocel.
Création son : Didier Ducrocq.
Manipulation : Marianne Durand et Marjan Kunaver.
Construction : Marianne Durand, Violaine Fimbel, Marjan Kunaver, Elisza Peressoni et Valéran Sabourin.
Durée : 40 min.
Tout public à partir de 12 ans.
•Avignon Off 2018•
Du 7 au 23 juillet 2018.
Tous les jours à 12 h 15, relâche le mardi.
Caserne des Pompiers,
116, rue de la Carreterie, Avignon.
Tél. : 04 90 01 90 28.
>> grandest.fr