© Michel Lys
Son tour de chant "soprano en liberté" se présente comme une succession improbable de chansons qu'elle aime. Une suite de tout à trac qui, allant de Gounod à Moustaki ou François Morel, culminant en une coda hilarante avec la chanson de Juliette Noureddine "Ô casseroles, ô faussets" prend une évidence de récital.
Avec juste ce qu'il faut d'interprétation et d'accessoires pour typer une atmosphère ou un personnage, il prend, dans sa simplicité et sa sophistication, une apparence d'improvisations tout en souplesse, tout en fluidité qui conjure de manière heureuse les aléas de la scène réels ou imaginaires.
Rieuse, charmeuse, ensorceleuse, langoureuse, farceuse, joueuse ou bien lunatique, mélancolique, un rien inquiétante. Quelquefois impérieuse. Quelquefois coléreuse ou facétieuse, ou douloureuse. Spontanée, familière, instinctive ou bien réfléchie, posée. Anne Baquet est tout cela.
Avec juste ce qu'il faut d'interprétation et d'accessoires pour typer une atmosphère ou un personnage, il prend, dans sa simplicité et sa sophistication, une apparence d'improvisations tout en souplesse, tout en fluidité qui conjure de manière heureuse les aléas de la scène réels ou imaginaires.
Rieuse, charmeuse, ensorceleuse, langoureuse, farceuse, joueuse ou bien lunatique, mélancolique, un rien inquiétante. Quelquefois impérieuse. Quelquefois coléreuse ou facétieuse, ou douloureuse. Spontanée, familière, instinctive ou bien réfléchie, posée. Anne Baquet est tout cela.
© Michel Lys
Un répertoire endormi dans les consciences revit. C'est un cadeau fait au public.
Comme si le seul objectif (poursuivi et atteint) était de parer chaque spectateur d'un collier de velours brodé de perles fines et baroques, de pierres fines et précieuses. Pierres de lunes qui font rêver.
Elle s'offre même le luxe d'écouter, respectueuse, avec nous, le prélude en sol majeur n°5 de Rachmaninoff au piano ou d'entonner le "ticket to ride" de John Lennon et Paul McCartney.
Plus qu'un morceau de bravoure étincelant "Anne Baquet soprano en liberté" est un moment de joie et de beauté partagé avec une Anne Baquet qui jubile.
Comme si le seul objectif (poursuivi et atteint) était de parer chaque spectateur d'un collier de velours brodé de perles fines et baroques, de pierres fines et précieuses. Pierres de lunes qui font rêver.
Elle s'offre même le luxe d'écouter, respectueuse, avec nous, le prélude en sol majeur n°5 de Rachmaninoff au piano ou d'entonner le "ticket to ride" de John Lennon et Paul McCartney.
Plus qu'un morceau de bravoure étincelant "Anne Baquet soprano en liberté" est un moment de joie et de beauté partagé avec une Anne Baquet qui jubile.
"Soprano en liberté"
© Michel Lys
Récital imaginé par Anne Baquet.
Mise en scène : Anne-Marie Gros.
Avec : Anne Baquet (chant).
Pianiste : Claude Collet ou Christophe Henry ou Grégoire Baumberger.
Compagnie Le Renard.
Durée : 1 h 15.
Du 7 juin au 9 juillet 2017.
Du mardi au samedi à 21 h, dimanche à 19 h.
Du 12 juillet au 27 août 2017.
Du mercredi au samedi à 21 h, dimanche à 19 h.
Théâtre Le Lucernaire, Paris 6e, 01 45 44 57 34.
>> lucernaire.fr
Mise en scène : Anne-Marie Gros.
Avec : Anne Baquet (chant).
Pianiste : Claude Collet ou Christophe Henry ou Grégoire Baumberger.
Compagnie Le Renard.
Durée : 1 h 15.
Du 7 juin au 9 juillet 2017.
Du mardi au samedi à 21 h, dimanche à 19 h.
Du 12 juillet au 27 août 2017.
Du mercredi au samedi à 21 h, dimanche à 19 h.
Théâtre Le Lucernaire, Paris 6e, 01 45 44 57 34.
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