"La pièce s’ouvre sur une confrontation avec le phénomène de la mort. Celle entre un homme et une mouche posée sur un mur blanc. Ce dernier raconte dans ses moindres détails cet instant tragique dont il a été témoin : l’agonie d’une mouche qu’il nomme Marguerite Duras. S’éveille ensuite un homme comme empressé de revenir sur des scènes marquantes de son passé entre désespoir, amour, violence, humour, nostalgie, folie et absurdité. Il devient le théâtre d’une troublante humanité."
Voilà un texte court (55 minutes), mais émouvant, pour qui a envie d’entendre un "cri", parfois absurde, mais souvent déconcertant. "La mort de Marguerite Duras" est aussi un dialogue. Celui qu’un homme entretient avec son passé. Dans cet enfermement, la voix chaude et sensuelle d’Anouk Grimberg vient réchauffer un peu le vide et la solitude de cet homme mis à nu, en proie au désespoir.
Cette pièce avait été lue en 1992 au Festival d’Avignon par Jean-Louis Trintignant. Seule fois où elle avait été interprétée en France.
Cette pièce avait été lue en 1992 au Festival d’Avignon par Jean-Louis Trintignant. Seule fois où elle avait été interprétée en France.
"La mort de Marguerite Duras"
De : Eduardo Pavlovsky.
Traduction : Françoise Thanas.
Mise en scène : Bertrand Marcos.
Avec : Jean-Paul Sérmadiras.
Voix : Anouk Grimberg.
Scénographie et lumières : Jean-Luc Chanonat.
Bande son : Pascale Salkin.
Costume : Karine Vintache.
Durée : 55 minutes.
Spectacle du 3 mars au 24 avril 2013.
Du dimanche au mercredi à 21 h.
La Manufacture des Abbesses, Paris 18e, 01 42 33 42 03.
>>La manufacture des abbesses
Traduction : Françoise Thanas.
Mise en scène : Bertrand Marcos.
Avec : Jean-Paul Sérmadiras.
Voix : Anouk Grimberg.
Scénographie et lumières : Jean-Luc Chanonat.
Bande son : Pascale Salkin.
Costume : Karine Vintache.
Durée : 55 minutes.
Spectacle du 3 mars au 24 avril 2013.
Du dimanche au mercredi à 21 h.
La Manufacture des Abbesses, Paris 18e, 01 42 33 42 03.
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